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Petites confidences

Petites confidences
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Petites confidences
10 octobre 2008

Je sais déjà ce que je vous dirai le moment où je

Je sais déjà ce que je vous dirai le moment où je partirai loin.

A toi, je te dirai que c'est à cause de toi que tout a commencé, parce que tu as laissé un vide, qui a du mal à se combler. Que j'ai tenu à toi suffisamment pour ne plus penser à moi mais à toi seul. Pour m'oublier, et accepter d'avoir mal, tout ça pour te voir heureux. J'aurais du deviné que ça allait tourné comme ça. J'étais encore trop naïve. Mnt je sais que ça ne sert à rien de s'oublier, parce qu'on est la seule à souffrir au final. T'as eu une grande place et encore mnt, ce que j'endure c'est pour pas te perdre totalement. Et ça me tue. Ça a trop durer, alors il est tps que je te dise aurevoir. C'est fini.

Toi, tu es comme un petit démon, qui s'immisce partout et qui pourri tout de l'intérieur. Sous tes airs, au fond, tu es ... Il n'y a même pas de mot. Toi je ne te regretterai de toutes façons pas. Oh non, c'est pas toi que je regretterai. Ça était ma plus grande erreur de te faire confiance. Je referai pas deux fois la même. Grâce à toi, mnt, je préfère ne plus faire confiance à personne plutôt que de risquer ça. Bravo. Je suis sûre qu'à la seconde où tu lis ses mots, sans même savoir qu'ils te sont destiné, tu es contente, tu es heureuse de savoir que j'ai mal. Ça y est, je l'ai, le mot : tu es perverse.

Toi, je ne pouvais pas faire cet article, sans penser à toi. Ça y est c'est fait. Toi je n'ai rien à te dire. Je n'aurai plus jamais rien à te dire. Tu m'as suffisamment dégoutée pour les 30 ans à venir. Tu ne mérites même pas un aurevoir. Et tu ne mérites surtout pas toutes ces larmes, tout ces cauchemars. Tu ne mérites pas que je devienne une autre, juste pour être sûre de ne pas retomber sur quelqu'un comme toi. Tu ne mérites pas de me faire devenir amer, dure, rancunière, méchante, froide, insensible, inapprochable (mnt ça se dit^^).. Nan, toi je n'ai rien à te dire. J'ai juste un énorme poing a te coller au travers de la gueule. Ça viendra, j'en suis sûre. Comme elle le dit : la roue tourne. Et oui, elle finit toujours par tourner. Et je suis prête à patienter des années si il le faut, juste pour te voir mordre la poussière. Je me répète mais...


ça viendra.


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24 septembre 2008

Tu me dégoutes tellement que si je t'avais devant

Tu me dégoutes tellement que si je t'avais devant moi, je n'aurai rien à te dire, rien à te demander.

Ce qui me dégoute le plus, c'est qu'à cause de tout ça, je suis entrain de devenir une autre. Une fille encore plus dure et plus méchante. Une fille qui se barricade, une fille qui se protège à outrance. Une fille qui ne veut plus laisser entrer personne de peur de refaire confiance à quelqu'un qui ne le mériterais pas. Une fille qui chasse les autres, qui fait fuir quiconque s'intéresserait à elle.

Je suis devenue une personne amer, qui ne croit plus en rien et qui refuse de croire en quoi que ce soit surtout. Une personne fataliste et triste à mourir. Une personne qui ne veut pas sourire parce que les gens risqueraient de venir lui parler. Une personne qui garde un air dur pour qu'on lui foute la paix.

Je suis devenue une femme qui refuse qu'on l'aime. Une femme qui refuse de s'engager. Une femme qui refuse de se laisser aller. Je suis devenue une femme méfiante et craintive. Une femme qui a peur et qui n'ose plus. Une femme qui ne prendra plus de risques.

Je suis devenue tout ce que je ne voulais pas devenir. Et le pire c'est que si je choisi d'être le paragraphe 2  & 3, je n'ai pas choisi de devenir le 4. J'ai peur de ne plus réussir à nouveau à être heureuse. De ne plus réussir à voir l'avenir dans d'autres yeux. De ne plus réussir à me donner sans retenu. J'ai peur d'être changée à jamais. J'ai peur que tout ça me fasse souffrir autant -même si c'est différemment. Je souffrirai d'être seule mais je ne souffrirai plus à cause de quelqu'un. Peut-être que est-ce mieux ? Peut-être pas ?

Mais en fait, j'ai surtout peur de ne pas aimer, ne pas supporter cette personne que je deviens.

C'est de ta faute et tu ne peux pas savoir comme je t'en veux,
comme je te méprise, comme je te déteste, comme je te hais, comme je suis en colère contre toi pour ça. Une colère sourde mais qui s'amplifie à chaque seconde. Une colère qui prend toute la place, une colère très mauvaise. C'est cette colère qui me rend amer, dure et tout ça. Il faut que je m'en débarrasse mais j'en suis -pour le moment- incapable. J'ai besoin qu'il y ait une justice et que l'histoire ne se finisse pas toujours bien pour le méchant.  J'ai besoin. S'il vous plait.

26 août 2008

Je n'arrive pas à croire que tu me fasses ca...Je

Je n'arrive pas à croire que tu me fasses ca...Je n'arrive pas à croire que tu nous fasses ca.
Après tout ce qu'on a partagé, tout ce qu'on a pu se dire, tous les moments qu'on a pu passé ensemble.. Comment tu peux me faire ça ?
Quand tu me disais que c'était rare de trouver quelqu'un avec qui on se voyait dans l'avenir.. J'aurais du le prendre comme un message ?
Je n'arrive pas à croire que dans chacun de tes mots, un mensonge se cachait. Je n'arrive pas à croire que tu n'as jamais été sincère. Que ton regard mentait, que tes gestes mentaient. Je n'arrive pas a croire que ton dernier "je t'aime" était du vent. Je n'arrive pas à croire que tu as fait tout ce que tu as fait pour mon anniversaire, sans sentiments.
Je n'arrive pas à croire que tu ai aussi peu de considération pour moi, pour ce que je croyais être "notre" histoire, pour ne même pas essayer de discuter. Pour ne même pas avoir le respect de me dire vraiment les choses.
Je n'arrive pas à croire que je me sois attaché à quelqu'un comme toi. Je n'arrive pas à croire que j'ai enduré tout ce que j'ai enduré, pour en arriver là. Je n'arrive pas à croire que j'ai eu si mal au cœur, toutes les semaines, pour rien.
Je n'arrive pas à croire que j'ai failli tout gâcher à cause de toi.
Je n'arrive pas à croire que je t'ai fait confiance..

 

Pire que tout : je n'arrive pas à croire que j'ai mal a ce point. Je n'arrive pas à croire que je souffres autant de la situation, de t'avoir perdu pour toujours. Je n'arrive pas à croire que je t'ai dans la peau. Je n'arrive pas à croire que malgré tout ça, je suis sûre que je finirai par te pardonner. Je n'arrive pas à croire que je t'aime toujours.

 

Parce tu es bien pire que tout ce qu'on a pu me dire et tout ce que j'aurais pu imaginer.

Tu me dégoutes.

 

13 août 2008

J'refuse de me battre toute seule.Pourtant, je

J'refuse de me battre toute seule.

Pourtant, je t'aime vraiment, j'ai vraiment des sentiments pour toi, mais qu'est ce que je dois penser moi ?
Tu me sors des pauvres excuses qui puent le mensonge à plein nez. Et comme j'ai oublié d'être conne, je le vois tout de suite. Et chaque fois je passe dessus parce que j'ai peur de te perdre. C'est pas une vie. Surtout que c'est pas dans ma nature de me taire de peur de perdre quelqu'un. Au fond, je ne suis pas moi-même et je tiendrai pas lgt comme ça.
Quelque part, c'est de ma faute tout ca, j'aurais peut-être du recarder tout tout de suite, mais vu comment ca s'est passé entre nous, j'ai eu peur. Pis jte sentais honnête qd tu me disais ds les yeux que tu m'aimais. Et je te sens toujours sincère d'ailleurs. Aprés, tu as tellement l'habitude de mentir.. Ou peut-être que tu ne te rends pas compte que tu risques de me perdre... Pourtant si.
Alors explique moi.
Tu m'aimes mais pas assez pour faire des efforts ? Pas assez  pour tout plaquer ? Pas assez pour être honnête ? Pas assez pour m'écrire et me rassurer ?
Et qd j'essaye de te parler, de te dire ce que je ressens, tu n'écoutes pas. Tu entends mais tu n'écoutes pas.

Tu sais, j'me battrai pas toute seule. Vraiment pas.

13 juillet 2008

Je me demande si tu as réfléchi, si tu as changé

Je me demande si tu as réfléchi, si tu as changé d'idée ou si au contraire tu es sur de toi.
Mais tu ne me parles pas. Et moi je n'ose pas poser de questions. J'ai peur de faire resurgir tout ça. J'ai peur de te faire te reposer des questions. J'ai peur tout court.
Et maintenant j'ai peur que tu ai compris ce à quoi je pensais.
Des fois, j'ai eu envie de lâcher prise. D'arrêter de me battre et de te laisser filer. Parce que tout ça me faisais trop mal. Et puis je me suis dit que je n'avais pas le droit de te laisser. Que c'était justement maintenant que tu avais besoin de moi. Et que si je t'aimais, je devais rester envers et contre tout. Alors je suis restée. Même si parfois, j'en avais marre et même si parfois j'ai cessé de faire des efforts. Le lendemain je reprenais le cap.
Pourtant, souvent j'ai pensé que tu me cachais quelque chose. J'ai même été jusqu'à penser qu'il y avait quelqu'un d'autre.

 

Et puis j'ai vu que ca allait mieux petit à petit. Il y a eu de nouveau ces gestes, ces regards, ces paroles. Mais pourquoi tu ne me parles pas ? Pourquoi tu ne mets pas fin à mes doutes et à mes souffrances ?
Maintenant j'ai tout le temps peur de te dire ce que j'ai sur le coeur. Et maintenant, même si je vais pas bien, je n'oserai plus jamais te le dire. Je subirai et me tairai.

La question est : est ce que c'est mieux qu'avant ? Je ne sais pas. Avant on se disputais mais on était dans le vrai. Maintenant on ne se dispute plus mais on vit dans le mensonge, dans le "caché", dans le "feint". Peut être que c'est mieux finalement puisque l'ambiance est meilleure quelque part. Je ne sais pas si je vais y arrivé. Mais au moins j'essaye.

Le plus étonnant, c'est que avant ça, je voulais partir. Et quand tu me l'as dit, j'ai eu mal. Et je me suis rendue compte que ce n'était pas ce que je voulais. Peut être était-ce parce que je voulais que la décisions vienne de moi, que je ne voulais pas subir, que je ne voulais pas être quittée. Ou peut être que je t'aime toujours. Beaucoup. Que je ne veux pas te perdre. Finalement, je ne sais pas ou est le vrai.

Ce que je sais, c'est que j'ai l'impression d'être repartie à zéro. Une nouvelle relation, tout à fait autre chose. Et c'est pas si mal. Quand je te regarde, j'ai des petits papillons dans le ventre et des étoiles dans les yeux. Je t'aime tout simplement. Peut être qu'il fallait ça pour m'en rendre compte. Peut être que c'était la solution que j'attendais depuis longtemps. Ou peut être que c'est lui qui me fait m'en rendre compte.

Dans tous les cas, je t'aime.

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9 juillet 2008

Présentation


Mon journal intime.

Parce que je préfère le clavier au stylo.
Parce que je fais trop de fautes et les ratures c'est moche.
Parce que tu peux effacer sans bruler la moitié du carnet.
Parce que y'a pas de meilleures cachettes que parmi les millions de blogs existants

Parce que j'ai besoin d'écrire tout ce qui me passe par la tête
Parce que j'ai besoin de ne pas justifier mes mots
Parce qu'on a tous des pensées qu'il vaut mieux taire
Parce que j'ai besoin d'être libre

Alors tu ne sauras jamais qui je suis.
Tu n'auras que des bouts de vie, sans grand sens pour toi.
Tu auras des sentiments bruts mais réels et vrais.
Tu auras tout mon ressenti sans diplomatie.

Ce blog, c'est ma façon à moi de ne pas me refermer.

Alors lis-moi, comprends-moi, déteste-moi, juge-moi, aime-moi, console-moi...

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